Du 9 septembre 2016 au 17 avril 2017

En 1939, Dalí publie une Déclaration d’indépendance de l’imagination des droits de l’homme à sa propre folie, en réponse aux censeurs. Il emploie dès lors cette liberté d’expression en favorisant les associations d’idées et d’images spontanées qui donnent à ses œuvres une incomparable puissance imaginative.

C’est à Joann Sfar, l’un des conteurs contemporains les plus talentueux, connu du grand public pour sa bande dessinée Le Chat du Rabbin et son film Gainsbourg Vie Héroïque, que Dalí Paris a donné carte blanche pour imaginer le scénario d’une rencontre artistique avec celui que Brassaï appelait « l’explorateur aussi hardi que lucide de l’irrationnel ».

Artiste formé aux Beaux-Arts de Paris, Joann Sfar, nous propose un chemin dessiné dans ce qu'il s'imagine être le cerveau de Dalí. Il encourage la perdition et l'égarement parmi les figures monstrueuses. Ce qui lui importe, c'est que l'exposition soit aussi excitante qu'un conte de fées.

L’exposition est une invitation au « voyage immobile » d’un peintre et de ses modèles évoluant entre rêve et réalité, au fil de l’écriture en dessin de Joann Sfar. Dans un décor enchanté par les sculptures et objets surréalistes de Dalí et les créations Haute Couture de Schiaparelli qui ont inspiré l’artiste, plus de 200 dessins originaux, croquis, esquisses sont à découvrir.

Parallèlement à l’exposition, Joann Sfar publie aux éditions Rue de Sèvres un récit en bande dessinée en hommage à Dalí, Fin de la parenthèse, dont les dessins originaux sont présentés dans l’exposition.

Scénographie : Agence Didier Saco Design

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